Camille  Bloomfield

poésie · traduction · enseignement · recherche

Il n’y a pas de résul­tat dans cette caté­go­rie, désolée

On se parle où ?

Mars 2023. C’est la fête : plein de belles choses se pré­parent pour le prin­temps, et j’ai plein de nou­velles à vous annon­cer, ate­liers, lec­tures, per­for­mances, des trucs dont, idéa­le­ment, il fau­drait que je parle ici. Mais le fait est que je trouve de moins en moins le temps de mettre à jour ce site. Tout va trop vite et je dois hum­ble­ment admettre ma défaite à ce point de vue. Et puis il y a trop de canaux de com­mu­ni­ca­tion pos­sibles : les mails, le site, l’Ins­ta, le Face­book… Il faut choi­sir ! Aus­si ce site va deve­nir de plus en plus une sorte d’ar­chive à moyen ou long terme de mon tra­vail. Je met­trai à jour de temps en temps la liste des per­for­mances, lec­ture et publi­ca­tions qui figure sur cette page, ain­si que les cap­ta­tions vidéo de cer­taines per­for­mances, etc., à retrou­ver dans la sec­tion “& j’poëte”. Mais pour l’ac­tua­li­té plus brû­lante, je vous conseille­rais plu­tôt de me suivre sur Ins­ta sur le compte @clebilingue ou sur Face­book, où je suis semi-plan­quée sous @Campo Dei Fio­ri... On s’y retrouve ?

Sinon, souvent, j’outranspote

J’ai co-fon­dé l’Ou­trans­po avec des copains en 2012. L’ac­ti­vi­té du groupe occupe actuel­le­ment une grande par­tie de mon temps, entre les réunions sur Han­gout, les ate­liers, lec­tures, per­for­mances et autres fêtes babé­liennes… Plus d’in­fo sur notre site web et nos actus sur notre page face de bouc.

En bref ? L’Ouvroir de trans­la­tion poten­cial est un groupe de tra­duc­teurs, écri­vains, cher­cheurs et musi­ciens hété­ro­clite et mul­ti­lingue, qui se consacre joyeu­se­ment aux approches créa­tives de la tra­duc­tion, notam­ment lors de réunions men­suelles et vir­tuelles. Fon­dé en 2012 aux États-Unis, dans le sillage de l’Oulipo, et véri­ta­ble­ment actif depuis octobre 2014 et le col­loque « Tra­duire les lit­té­ra­tures à contrainte » de Bal­ti­more, « A’ no Proust ! » est son cri de guerre, ou, selon les régions du monde, « No a Proust ! ».