Camille  Bloomfield

poésie · traduction · enseignement · recherche

Ma bio à votre façon

Les ins­tances invi­tantes ont tou­jours des contraintes pré­cises en termes de nombre de signes pour la bio­bi­blio, selon leurs sup­ports de com’. Fan de contrainte, je me suis amu­sée à en faire plein, au signe près et en chiffres ronds, comme ça tu choi­sis ce qui cor­res­pond le mieux à tes besoins 🙂

En 600 signes exactement

Camille Bloom­field explore la poé­sie sous toutes ses formes : écri­ture, per­for­mance, numé­rique, tra­duc­tion, spo­ken word, recherche… Après une thèse sur l’Oulipo, elle a co-fon­dé l’Outranspo (Ouvroir de trans­la­tion poten­cial) et rejoint l’Oplepo ita­lien. Elle par­ti­cipe aus­si à la revue Po&sie et au col­lec­tif Pou. Sa poé­sie est née tant sur les réseaux sociaux que sur scène, ou à l’occasion de col­la­bo­ra­tions avec des musicien·nes (Pierre Dunand-Filliol, Nico­las Tzort­zis, Marianne Piket­ty…). Aux édi­tions Les Ven­ter­niers, elle a diri­gé la col­lec­tion « les gens connec­tés », publié Les gens qui datent (illus­tra­tions Béa­trice Bloom­field, 2022) et Poèmes typo­der­miques (2023). Sa tra­duc­tion-recréa­tion de La Machine de G. Per­ec et E. Helm­lé (avec Valen­tin Decop­pet) paraî­tra au Nou­vel Atti­la en 2025.

En 800 signes exactement

Camille Bloom­field explore la poé­sie sous toutes ses formes : écri­ture, per­for­mance, numé­rique, tra­duc­tion, spo­ken word, recherche… Après une thèse sur l’Oulipo, elle a co-fon­dé l’Outranspo (Ouvroir de trans­la­tion poten­cial) et rejoint l’Oplepo, son cou­sin ita­lien. Elle par­ti­cipe aus­si à la revue Po&sie et au col­lec­tif Pou. Sa poé­sie est née autant sur les réseaux sociaux que sur scène, ou à l’occasion de col­la­bo­ra­tions avec des musicien·nes (Pierre Dunand-Filliol, Nico­las Tzort­zis, Marianne Piket­ty…). Aux édi­tions Les Ven­ter­niers, elle a diri­gé la col­lec­tion « les gens connec­tés » et a publié Les gens qui datent (avec Béa­trice Bloom­field, 2022) et Poèmes typo­der­miques (2023). Sa tra­duc­tion-recréa­tion de La Machine de Per­ec et Helm­lé (avec Valen­tin Decop­pet) paraît au Nou­vel Atti­la en octobre 2025.

En 1200 signes exactement

Camille Bloom­field explore la poé­sie sous toutes ses formes : écri­ture, per­for­mance, numé­rique, tra­duc­tion, spo­ken word, recherche… A la suite d’une thèse sur l’Oulipo, elle a co-fon­dé l’Outranspo (Ouvroir de trans­la­tion poten­cial), qui défend une approche créa­tive de la tra­duc­tion, et rejoint l’Oplepo, le cou­sin ita­lien de l’Oulipo. Elle par­ti­cipe aus­si à la revue Po&sie et au col­lec­tif Pou. Sa poé­sie est née autant sur les réseaux sociaux (Ins­ta­gram) que sur scène (en per­for­mance ou lec­ture), mais aus­si à l’occasion de col­la­bo­ra­tions avec des musi­ciens (elle a signé les textes de la pièce Immo­bi­li­tés de Nico­las Tzort­zis, créa­tion France musique, 2019, et les vidéo-poèmes du spec­tacle Sous l’étoile de Marianne Piket­ty & le Concert idéal, 2024). Elle est aus­si tra­duc­trice depuis l’anglais et l’italien (notam­ment de Cent qua­trains éro­tiques de Patri­zia Val­du­ga, Nous, 2021). Aux édi­tions Les Ven­ter­niers, elle dirige la col­lec­tion « les gens connec­tés » et a publié Les gens qui datent (avec Béa­trice Bloom­field, 2022) et Poèmes typo­der­miques (2023). Sa tra­duc­tion-recréa­tion de La Machine de Georges Per­ec et Eugen Helm­lé (avec Valen­tin Decop­pet) paraît au Nou­vel Atti­la en octobre 2025. 

En 2000 signes exactement

Camille Bloom­field tra­vaille la poé­sie sous toutes ses formes, dans et hors du livre : per­for­mance, écri­ture numé­rique, tra­duc­tion, spo­ken word, recherche… Maî­tresse de confé­rences en lit­té­ra­ture à l’Université Paris Cité, tra­duc­trice de l’italien et de l’anglais, elle est aus­si co-fon­da­trice de l’Outranspo (Ouvroir de trans­la­tion poten­cial), qui défend une approche créa­tive de la tra­duc­tion. Ses textes ont été publiés en recueil, en revue et dans plu­sieurs antho­lo­gies, mais font aus­si l’objet de per­for­mances en France (Mai­son de la poé­sie de Paris, Centre Pom­pi­dou, Midi-minuit poé­sie à Nantes…) ou à l’étranger (Genève, Bruxelles, Mont­réal…). Adepte du dia­logue entre les arts, elle tra­vaille régu­liè­re­ment avec des com­po­si­teurs, dont Nico­las Tzort­zis, pour qui elle a écrit le livret de la pièce Immo­bi­li­tés (créa­tion France musique, 2019). Aux édi­tions les Ven­ter­niers, elle a diri­gé la col­lec­tion de poé­sie et illus­tra­tion « les gens connec­tés », consa­crée à nos rela­tions numé­riques contem­po­raines, dans laquelle elle a co-signé, avec Bea­trice Bloom­field, Les gens qui datent (2022). Poèmes typo­der­miques est paru en 2023 dans la même mai­son, enri­chi de pho­tos de Nico­las Sou­thon et d’une pré­face de Michèle Métail. Sa tra­duc­tion-recréa­tion de La Machine de Georges Per­ec et Eugen Helm­lé (avec Valen­tin Decop­pet) paraî­tra au Nou­vel Atti­la en octobre 2025. 

Publi­ca­tions (sélec­tion)

  • Les gens qui datent, Les Ven­ter­niers, 2022
  • Poèmes typo­der­miques, Les Ven­ter­niers, 2023 (Prix de la nuit du livre)

En antho­lo­gie

  • Drôles de Valen­tines, Héros-Limite, 2016
  • Paris, Dos­toyevs­ky Wan­nabe, 2019
  • Ces mots qui tra­versent les fron­tières – 111 poètes d’aujourd’hui, Le Cas­tor Astral /​Printemps des poètes, 2023.

Tra­duc­tion littéraire

  • Cent qua­trains éro­tiques de Patri­zia Val­du­ga, avec Pao­lo Bel­lo­mo, édi­tions Nous, 2021.
  • La mon­tagne : une marche au Wachus­sett, d’Henry David Tho­reau, Ate­lier de l’agneau, 2012.

Mono­gra­phie

  • Racon­ter l’Oulipo. His­toire et socio­lo­gie d’un groupe (1960−1990), Hono­ré Cham­pion, 2017.

 

Pho­to : pour télé­char­ger ma pho­to, faire un clic droit + enre­gis­trer sous sur l’image ci-dessous

(cré­dit Nico­las Southon)

"Camille
Camille Bloom­field par Nico­las Southon